Du 22 au 31 mai 2015, dans le cadre du projet The Man Who Sold The World, partagé entre l’EBABX et l’ensapBX (École d’architecture et du paysage de Bordeaux), nous avons invité le public à nous rejoindre sur les quais, selon un calendrier établi.
En collaboration avec Nicolas Legros

Support de communication d’En méduses :

Jacques Benveniste a soumis l’hypothèse que l’eau pouvait mémoriser les propriétés d’une molécule avec laquelle elle avait été en contact, et ce, même lorsque la molécule ne s’y trouve plus. Les scientifiques se déchirent autour de cette question. On accuse Benveniste de se prendre pour « un Galilée des temps modernes ». L’eau possède-t-elle réellement une mémoire ? A-t-elle conservé une empreinte de ce qu’elle a connu ? Nous ne voulons pas ajouter d’huile sur le feu à la controverse qui oppose Benveniste au monde scientifique, mais armé de seaux, nous nous proposons de puiser l’eau de la Garonne afin de l’analyser et la faire parler. Nous vous invitons à embarquer avec nous, à même le quai, là où vous ne risquez de prendre l’eau.

Mai 2015

From 22 to 31 May 2015, as part of the Man Who Sol The World Project (EBABX and ensapBX [Architecture and Landscape School of Bordeaux]), we invited the public to join us on the quay according to a defined schedule.
With Nicolas Legros

En méduses communication medium:

Jacques Benveniste submits the theory that water memorizes the properties of a molecule it has been in contact with even though the molecule is not present anymore. Scientists tear each other apart about this theory. Benveniste is accused of taking himself for a “modern times Galilee”. Does water got a memory? Does it keep a trace of what it has known? We do not want to add fuel to the fire to the controversy that brings Benveniste into opposition with the scientist world, but armed ourselves with buckets, we offer to draw water from the Garonne to analyze it and to make it talk. We invite you to embark with us, on the quay, where you do not risk taking on water.

Mai 2015